Vous songez à démarrer une petite entreprise?

    Une étude de la Banque Scotia révèle les objectifs et les difficultés des
    propriétaires d'entreprise en démarrage

    TORONTO, le 11 oct. /CNW/ - D'après une étude menée par la Banque Scotia,
il existe une constance remarquable sur le plan des objectifs établis et des
difficultés rencontrées par les propriétaires de petite entreprise en
démarrage. En conséquence, des services complets, une planification rigoureuse
et de bons conseils permettent aux nouveaux entrepreneurs d'atteindre leurs
objectifs et de surmonter leurs difficultés, d'après un spécialiste de la
Banque Scotia.
    "Le démarrage d'une petite entreprise peut se révéler à la fois stimulant
et éprouvant", a déclaré Kyle McNamara, chef, Petites entreprises, Banque
Scotia. "La rédaction d'un plan d'affaires officiel et l'obtention de conseils
judicieux constituent une excellente stratégie, puisqu'elle permet d'atteindre
les objectifs et de surmonter les difficultés jugés critiques par les
propriétaires d'entreprise en démarrage."
    Comme on pouvait s'y attendre, l'augmentation des produits d'exploitation
se classe en tête de liste des objectifs d'affaires des nouveaux
entrepreneurs. Les autres objectifs portent sur l'expansion des activités
ainsi que la gestion des dépenses et du risque. Voici les six principaux
objectifs révélés par l'étude que TNS Canadian Facts a menée pour la Banque
Scotia :-  augmentation de la marge bénéficiaire ou des produits d'exploitation
         (88 %);
      -  croissance à deux chiffres (69 %);
      -  amélioration des pratiques administratives (59 %);
      -  gestion améliorée des flux de trésorerie (57 %);
      -  expansion des produits et des services (52 %);
      -  gestion améliorée du risque commercial (52 %).L'étude s'est également penchée sur les principales difficultés
rencontrées par les propriétaires d'entreprise en démarrage. A ce titre, les
répondants avaient davantage tendance à citer la recherche et la fidélisation
de la clientèle (28 %), en plus des promotions et de la publicité (12 %),
comparativement aux entreprises en phase d'expansion, de maturité ou de
déclin. En outre, 27 % des propriétaires d'entreprise en phase de démarrage
considéraient les questions financières, notamment les impôts, le capital et
les flux de trésorerie, comme des difficultés, à l'instar de la dotation en
personnel et de la concurrence, mentionnées dans une proportion de 15 %.
    Par ailleurs, l'étude a révélé que plus de la moitié des propriétaires
d'entreprise en phase de démarrage (52 %) avaient élaboré un plan d'affaires
officiel relativement à leurs activités. En fait, les nouveaux entrepreneurs
sont plus susceptibles d'avoir élaboré leur plan (20 %) en collaboration avec
un conseiller de leur établissement financier que les propriétaires
d'entreprises en phase d'expansion, de maturité ou de déclin. De plus, les
nouveaux entrepreneurs ont davantage tendance à considérer l'obtention de
conseils sur l'expansion de leurs activités comme un aspect important de la
gestion de leur entreprise (81 %), outre les conseils sur la fiscalité (78 %)
et la gestion des flux de trésorerie (73 %). Cependant, à peine 26 % des
propriétaires d'entreprise en démarrage demandent réellement conseil à un
professionnel afin d'assurer l'expansion de leurs activités. En outre, cette
proportion s'établit à 41 % en ce qui a trait aux conseils sur la fiscalité,
ainsi qu'à 17 % pour ce qui concerne les conseils sur la gestion des flux de
trésorerie. Qui plus est, 39 % de ces nouveaux entrepreneurs ne font nullement
appel à un professionnel afin d'obtenir des conseils sur les aspects traités
par cette étude.
    "D'une part, il est encourageant de constater qu'un grand nombre de
propriétaires d'entreprise en démarrage ont pris le temps d'élaborer un plan
d'affaires officiel", a précisé M. McNamara. "D'autre part, ce plan ne
représente qu'une partie de la solution. Une fois qu'on a défini ses objectifs
et ses difficultés, il est tout aussi important d'obtenir les conseils dont on
a besoin pour réussir."
    "La multiplication des objectifs et des difficultés exige également des
solutions complètes", a poursuivi M. McNamara. "Pour cette raison, la Banque
Scotia a lancé le Plan Démarrage Scotia pour entreprise(MC). Cet ensemble de
produits et de services comporte une grande variété d'options qui permettent
de répondre aux besoins uniques de l'entrepreneur d'aujourd'hui. En fusionnant
certaines solutions financières pour les entreprises avec des solutions
financières pour les particuliers, qui vont des exemptions de frais sur nos
principaux produits pour les entreprises aux rabais sur les outils de
marketing, nous avons créé un forfait qui permet aux petites entreprises de
partir du bon pied. De plus, nous avons lancé le Rédacteur de plans de gestion
Scotia pour entreprise(MC), en vue d'aider les propriétaires de petite
entreprise à concevoir leur plan d'affaires. Cette ressource est offerte
gratuitement au www.scotiabank.com."
    "Les personnes qui songent à démarrer leur petite entreprise peuvent
tirer une leçon des réponses fournies par les entrepreneurs qui ont pris part
à cette étude", a souligné M. McNamara. "Les deux premières années
d'exploitation d'une entreprise comportent leur lot d'objectifs et de
difficultés. Un ensemble de services financiers, un bon plan d'affaires et une
équipe de spécialistes, dont un établissement bancaire ouvert aux petites
entreprises, constituent les principales étapes à franchir sur le chemin de la
réussite commerciale, tout en contribuant à résoudre les difficultés qui
guettent toute entreprise en démarrage."
    L'étude sur les petites entreprises de la Banque Scotia est un sondage en
ligne mené auprès des propriétaires de petites entreprises canadiennes. Pour
les besoins de cette recherche, une "petite entreprise" a été définie comme
une société générant des produits d'exploitation annuels inférieurs à 5
millions de dollars. De plus, une "entreprise en démarrage" a été définie
comme une entreprise existant depuis une période maximale de deux ans. Au
total, les propriétaires de 1 190 entreprises ont participé au sondage.
    L'échantillon du sondage provient de deux sources. Le panel en ligne de
TNS Canadian Facts a sélectionné les propriétaires de petites entreprises. On
y a ajouté un échantillon de petites entreprises issues des listes de D&B. Les
membres de ce dernier groupe ont été recrutés par téléphone, mais ont dû
répondre au sondage en accédant au site Web de TNS. Les entrevues ont fait
l'objet d'une pondération afin de représenter l'ensemble des petites
entreprises, en ce qui a trait aux produits d'exploitation et aux régions. Le
sondage en ligne s'est déroulé du 16 juillet au 6 août 2007.
    La Banque Scotia est l'une des principales institutions financières
d'Amérique du Nord et la plus internationale des banques canadiennes. Forts de
leurs effectifs de quelque 60 000 employés, le Groupe Banque Scotia et ses
sociétés affiliées comptent environ 12 millions de clients répartis dans une
cinquantaine de pays. Outre des services bancaires d'investissement, la Banque
Scotia propose une gamme complète de produits et de services aux particuliers,
aux petites et moyennes entreprises ainsi qu'aux grandes sociétés. L'actif de
la Banque Scotia s'établit à 408 G$ (au 31 juillet 2007). Les actions de la
Banque Scotia sont inscrites aux cotes officielles des bourses de Toronto
(BNS) et de New York (BNS). Pour obtenir de plus amples renseignements,
veuillez consulter le site Web de la Banque à l'adresse www.banquescotia.com.




Pour plus d'informations:
Renseignements: Bernard Boileau, Affaires publiques, Banque Scotia,
(450) 420-4595