Au quatrième trimestre, la Banque Scotia déclarera un profit lié à Visa et des baisses de valeur liées au PCAA et aux instruments de crédit structurés

    TORONTO, le 13 nov. /CNW/ - La Banque Scotia a annoncé aujourd'hui que,
compte tenu de sa participation nationale et internationale dans Visa Inc.,
elle inscrira un profit d'environ 200 M$ avant impôts (quelque 160 M$ après
impôts) pour le quatrième trimestre terminé le 31 octobre 2007. Visa Inc. est
née de la réorganisation de Visa Canada, de Visa USA et de Visa International.
    Le montant du profit a été calculé en fonction d'une évaluation
indépendante des actions reçues par la Banque à la suite de sa participation
dans la restructuration de Visa et de l'établissement de la part de la Banque
Scotia dans Visa Inc., en date de la restructuration.
    La Banque Scotia a également annoncé que ses résultats du quatrième
trimestre de 2007 comprendront des baisses de valeur, évaluées au cours du
marché, liées au papier commercial adossé à des actifs (PCAA) du secteur non
bancaire et aux instruments de crédit structurés d'environ 190 M$ (quelque
135 M$ après impôts).
    La Banque Scotia prépare actuellement ses résultats du quatrième
trimestre et de fin d'exercice. Les renseignements indiqués ci-haut sont
fondés sur les estimations les plus récentes et sont sujets à changement. Les
résultats du quatrième trimestre et de fin d'exercice seront publiés le
6 décembre 2007.

    La Banque Scotia est l'une des principales institutions financières en
Amérique du Nord et la plus internationale des banques canadiennes. Forts de
leur effectif de quelque 60 000 employés, le Groupe Banque Scotia et ses
sociétés affiliées comptent environ 12 millions de clients dans une
cinquantaine de pays. Outre des services bancaires d'investissement, la Banque
Scotia offre une gamme complète de produits et de services aux particuliers,
aux petites et moyennes entreprises ainsi qu'aux grandes sociétés. L'actif de
la Banque Scotia s'établit à 408 G$ (au 31 juillet 2007). Les actions de la
Banque Scotia sont cotées en bourse à Toronto (BNS) et à New York (BNS). Pour
obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web de la
Banque à l'adresse www.banquescotia.com.

    Déclarations prospectives
    -------------------------

    Le présent document renferme des déclarations prospectives qui sont
formulées aux termes des règles d'exonération de responsabilité de la loi
américaine de 1995 intitulée Private Securities Litigation Reform Act et de
toute autre loi canadienne sur les valeurs mobilières applicable. Ces
déclarations comprennent des observations concernant les objectifs de la
Banque, les stratégies qu'elle emploie pour atteindre ces objectifs, ses
résultats financiers prévisionnels (y compris ceux relevant du domaine de la
gestion du risque) et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et
de l'économie du Canada, des Etats-Unis et du monde entier. On reconnaît
habituellement les déclarations prospectives à l'emploi de termes ou
d'expressions comme "croire", "prévoir", "s'attendre à", "avoir l'intention
de", "estimer", "projeter", "pourrait augmenter" et "pourrait fluctuer" et
d'autres expressions similaires, ainsi que par la conjugaison des verbes au
futur et au conditionnel.
    De par leur nature, les déclarations prospectives comportent de
nombreuses hypothèses, des incertitudes et des risques inhérents, tant
généraux que spécifiques, ainsi que le risque que les prédictions et autres
déclarations prospectives se révèlent inexactes. La Banque conseille aux
lecteurs de ne pas se fier indûment à ces déclarations, étant donné que les
résultats réels risquent de différer sensiblement des estimations et
intentions exprimées dans ces déclarations prospectives, en raison d'un
certain nombre de facteurs importants, notamment la conjoncture économique et
financière au Canada et dans le monde; les variations des taux d'intérêt et
des cours du change; les liquidités; l'incidence des changements apportés à la
politique monétaire; les modifications apportées aux lois et à la
réglementation au Canada et ailleurs; les risques d'exploitation et d'atteinte
à la réputation; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque
reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement
de nouveaux produits et services en temps opportun sur des marchés réceptifs;
l'aptitude de la Banque à étendre ses canaux de distribution existants et à en
mettre sur pied de nouveaux afin d'accroître ses revenus; l'aptitude de la
Banque à mener à terme ses acquisitions et ses autres stratégies de croissance
et à intégrer les établissements acquis; les modifications des conventions et
des méthodes comptables dont la Banque se sert pour présenter sa situation
financière et ses résultats d'exploitation, y compris les incertitudes
entourant les principales hypothèses et estimations comptables; l'incidence de
l'application de modifications comptables futures; l'activité sur les marchés
financiers mondiaux; l'aptitude de la Banque à recruter et à conserver des
dirigeants clés; la confiance accordée aux tiers qui fournissent les
composantes de l'infrastructure commerciale de la Banque; les changements
imprévus des habitudes de dépense et d'épargne du consommateur; les
changements technologiques; le regroupement du secteur canadien des services
financiers; les changements apportés aux lois fiscales; la présence de
nouveaux concurrents et des concurrents établis; les procédures judiciaires et
réglementaires; les cas de force majeure comme les tremblements de terre et
les ouragans; l'incidence éventuelle de conflits internationaux et autres
événements, y compris les actes terroristes et la guerre contre le terrorisme;
les incidences de maladies ou d'épidémies sur les économies locales,
nationales ou internationales; les perturbations des infrastructures
publiques, notamment les transports, les communications, l'électricité et
l'eau; de même que l'aptitude de la Banque à prévoir et à gérer les risques
que comportent ces facteurs. La Banque consacre une bonne partie de ses
activités à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à
certains secteurs, entreprises ou pays. Un événement imprévu qui touche ces
emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable
importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur
sa situation financière ou sur ses liquidités. Ces facteurs, et d'autres
encore, peuvent faire en sorte que le rendement réel de la Banque soit, dans
une mesure importante, différent de celui envisagé par les déclarations
prospectives. Pour plus de renseignements, se reporter à la rubrique du
rapport de gestion débutant à la page 53 du Rapport annuel 2006 de la Banque.
    La Banque tient à souligner que la liste des facteurs importants énoncés
ci-dessus n'est pas exhaustive. Lorsqu'ils se fient à des déclarations
prospectives pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses
titres, les investisseurs et les autres personnes devraient se pencher
diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et
éventualités. La Banque ne s'engage pas à mettre à jour les déclarations
prospectives verbales ou écrites qui peuvent être faites de temps à autre par
elle ou en son nom.
    Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa
notice annuelle sur le site Web de SEDAR, à l'adresse www.sedar.com, ainsi que
dans la section EDGAR du site Web de la SEC, à l'adresse www.sec.gov.



Pour plus d'informations:
Renseignements: Ann DeRabbie, (416) 933-1344