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Toutefois, plus du quart d'entre eux ont déjà puisé dans leurs placements ou leurs économies pour couvrir leurs frais de subsistance quotidiens TORONTO, le 17 janv. /CNW/ - Près de 80 % des Canadiens qui ont des économies ou des placements estiment qu'il est très important ou relativement important d'y contribuer régulièrement, selon un sondage mené par TNS Canadian Facts pour la Banque Scotia. C'est en Alberta et au Québec que l'on retrouve le plus grand nombre de personnes (respectivement 83 % et 82 %) qui affirment qu'il est important d'épargner régulièrement. Le sondage révèle également que 76 % des épargnants canadiens de 18 ans et plus contribuent au moins une fois par année à leurs placements - RER ou hors RER - et 41 % choisissent d'y contribuer mensuellement. Au pays, les citoyens de l'Alberta (50 %), du Manitoba et de la Saskatchewan (50 %), et de l'Ontario (46 %) optent pour les contributions mensuelles, alors que les épargnants du Québec, soit 23 %, préfèrent les contributions hebdomadaires - soit près du double de la moyenne nationale de 12 %. "Il est encourageant de constater que les Canadiens accordent de l'importance aux placements et qu'ils s'efforcent de mettre de l'argent de côté régulièrement", a souligné John Kellett, conseiller principal, Expansion des affaires, Fonds communs, Banque Scotia. "En commençant tôt et en contribuant régulièrement, les sommes investies rapporteront plus d'intérêts et les épargnants obtiendront de meilleurs rendements; ainsi, ils n'auront pas, à long terme, à investir autant pour atteindre leurs objectifs de placement." Comparaison entre le RER et d'autres types de placement La dernière fois qu'ils ont cotisé à leur RER, les investisseurs canadiens y ont consacré 2 035 $ en moyenne. C'est en Ontario que les cotisations ont été les plus généreuses (2 602 $), les cotisants du Manitoba et de la Saskatchewan ayant le moins contribué (557 $). Le sondage indique cependant que la plupart des Canadiens contribuent plus à leurs fonds d'épargne et de placement qu'à leurs RER. La dernière fois qu'ils y ont contribué, les épargnants canadiens ont consacré en moyenne 648 $ de plus à des placements hors RER. Ce modèle d'épargne est plus courant en Colombie-Britannique, où les citoyens ajoutent en moyenne 5 054 $ à leurs épargnes/placements contre 1 596 $ en moyenne à leur RER. Les habitants du Manitoba et de la Saskatchewan ont également contribué nettement plus à leurs épargnes/placements (2 146 $) qu'à leur RER (557 $). Les Albertains et les citoyens des provinces atlantiques se démarquent par le fait qu'ils contribuent davantage à leurs RER (1 597 $ et 1 749 $ respectivement) qu'à leurs épargnes/placements (1 335 $ et 1 556 $ respectivement). "C'est rassurant de voir que les Canadiens ne mettent pas tous leurs oeufs dans le même panier. Un RER est un fonds qui servira à la retraite; les gens doivent quand même tenir compte de leurs besoins actuels et de leurs objectifs futurs et épargner en conséquence", a souligné M. Kellett. "Les contributions destinées à la retraite doivent être considérées comme une priorité, qui tient compte des objectifs de retraite individuels et des fonds qui seront nécessaires pour les réaliser. Certes, le RER offre des avantages fiscaux indéniables; j'encourage cependant les Canadiens à cotiser en fonction de leurs objectifs, plutôt que de cotiser à un RER simplement pour accroître leur remboursement d'impôt." Objectifs de placement et retraits Pas moins de 68 % des personnes sondées ont affirmé qu'elles épargnaient ou investissaient en vue de la retraite. En Alberta et dans les provinces de l'Atlantique, ce chiffre bondit à 75 % et à 73 % respectivement.Parmi les autres raisons qui incitent les Canadiens à épargner ou à investir, mentionnons : - La constitution d'un fonds d'urgence - 38 %; - Les voyages/les vacances - 37 %; - Le remboursement d'une hypothèque ou d'autres dettes - 23 %; - Des rénovations domiciliaires - 23 %; et - Les frais de subsistance quotidiens - 20 %.Près de la moitié (46 %) des épargnants canadiens admettent avoir déjà puisé dans leurs économies ou leurs placements à des fins autres que celles prévues. De ce nombre, 26 % avouent avoir puisé dans leurs économies/placements pour couvrir leurs frais de subsistance quotidiens, retirant 12 500 $ en moyenne. C'est au Manitoba/Saskatchewan (33 %), au Canada atlantique (31 %) et en Ontario (30 %) que cette tendance est la plus marquée. "Le retrait de fonds d'un compte d'épargne ou de placement pour un événement marquant tel que l'achat d'une nouvelle maison, un mariage ou l'arrivée d'un enfant n'est pas inhabituel. En revanche, le retrait de fonds pour couvrir des frais de subsistance quotidiens, surtout d'un RER bénéficiant d'un abri fiscal, devrait signaler à l'intéressé qu'il vit au-dessus de ses moyens et qu'il devrait réévaluer son budget et ses habitudes de consommation. Un conseiller financier peut le soutenir dans cette démarche et l'aider à établir un plan qui tienne compte des besoins de tous les jours et des objectifs à long terme, y compris la retraite", a souligné M. Kellett. L'influence de la volatilité des marchés et de la vigueur du dollar canadien sur l'attitude des épargnants Selon 35 % des épargnants canadiens, la volatilité et l'instabilité qui caractérisent les marchés actuels sont des facteurs préoccupants. En Alberta et en Ontario, respectivement 39 % et 38 % des épargnants interrogés placent ces facteurs en tête de leurs préoccupations. Les épargnants québécois se montrent en général plus prudents. Quarante-neuf pour cent d'entre eux n'aiment pas prendre de risques et sont prêts à se contenter d'un rendement moindre pour bénéficier de placements plus sûrs (contre 37 % en moyenne à l'échelle nationale). Quant à la vigueur du huard, 57 % des épargnants canadiens affirment qu'elle n'a aucune incidence sur leur portefeuille de placement, alors que 28 % disent qu'elle a eu un effet très favorable ou plutôt favorable sur leurs placements. Parmi les 14 % d'épargnants qui affirment que l'envolée du huard a eu un effet très défavorable ou plutôt défavorable sur leur portefeuille, 63 % n'ont pris aucune mesure pour y remédier. Les sondeurs ont également constaté que seulement 17 % des épargnants canadiens ont tiré parti des changements relatifs à la limite du contenu étranger et accru leurs investissements dans des pays autres que le Canada. "Bien qu'on puisse considérer comme une bonne nouvelle le fait que 28 %des épargnants canadiens estiment que le dollar canadien élevé a eu un effet favorable sur leur portefeuille, cela peut aussi indiquer que les épargnants canadiens n'ont pas tiré pleinement parti de la hausse prescrite par la loi en ce qui a trait au contenu étranger", a indiqué M. Kellett. "Les épargnants doivent absolument passer en revue leurs placements périodiquement pour bien soupeser les risques et en maximiser l'efficacité fiscale." Le sondage de la Banque Scotia sur le placement a été mené en ligne par TNS Canadian Facts auprès de ménages recrutés par TNS. Les personnes sondées étaient responsables des décisions de placement du ménage et avaient des économies ou des placements dans un RER ou hors RER. Au total, 1 097 épargnants ont pris part au sondage en ligne entre le 27 décembre 2007 et le 3 janvier 2008. Les données finales sont pondérées de manière à ce qu'elles soient représentatives des épargnants canadiens en fonction de l'âge, du sexe et de la région. La Banque Scotia est l'une des principales institutions financières en Amérique du Nord et la plus internationale des banques canadiennes. Forts de leur effectif de plus de 60 000 employés, le Groupe Banque Scotia et ses sociétés affiliées comptent environ 12,5 millions de clients dans une cinquantaine de pays. Outre des services bancaires d'investissement, la Banque Scotia offre une gamme complète de produits et de services aux particuliers, aux petites et moyennes entreprises ainsi qu'aux grandes sociétés. L'actif de la Banque Scotia s'établit à 412 milliards de dollars (au 31 octobre 2007). Les actions de la Banque Scotia sont cotées en bourse à Toronto (BNS) et à New York (BNS). Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Web de la Banque à l'adresse www.banquescotia.com.
Renseignements: Paula Cufre, relations publiques, Banque Scotia, (416) 933-1093, paula_cufre@scotiacapital.com; Région de l'Ouest, Deborah Spence, relations publiques, Banque Scotia, (403) 254-6830