La Banque Scotia annonce les résultats de son deuxième trimestre

Sauf indications contraires, tous les montants sont en dollars canadiens et se fondent sur les états financiers consolidés intermédiaires résumés (non audités) de la Banque pour le trimestre clos le 30 avril 2018 et sur les notes connexes préparés selon les Normes internationales d'information financière (IFRS). La version complète du rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2018, y compris les états financiers intermédiaires (non audités) pour la période close le 30 avril 2018, est disponible sur le site de SEDAR, au www.sedar.com, et sur la section EDGAR du site de la SEC, au www.sec.gov. De plus, le rapport d'informations financières supplémentaires ainsi que le rapport aux actionnaires du deuxième trimestre de 2018 sont disponibles à la page Relations avec les investisseurs au www.banquescotia.com.

 

Faits saillants du deuxième trimestre (contre ceux de T2 2017)

  • Bénéfice net de 2 177 millions de dollars, contre 2 061 millions de dollars
  • Bénéfice dilué par action de 1,70 $, contre 1,62 $
  • Rendement des capitaux propres de 14,9 %, inchangé

Faits saillants du premier semestre (contre ceux du premier semestre de 2017)

  • Bénéfice net de 4 514 millions de dollars, contre 4 070 millions de dollars
  • Bénéfice dilué par action de 3,56 $, contre 3,19 $
  • Rendement des capitaux propres de 15,5 %, contre 14,6 %

TORONTO, le 29 mai 2018 /CNW/ - La Banque Scotia a annoncé un bénéfice net de 2 177 millions de dollars pour son deuxième trimestre, par rapport à 2 061 millions de dollars pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le bénéfice dilué par action s'est établi à 1,70 $, comparativement à 1,62 $ pour la période correspondante de l'exercice précédent. Le rendement des capitaux propres s'est chiffré à 14,9 %, inchangé par rapport à celui de l'exercice précédent.

Scotiabank (Groupe CNW/Scotiabank)

« Nous sommes ravis de la performance de nos activités pour le trimestre, laquelle souligne la vigueur de nos services aux particuliers et aux entreprises, tant dans les Opérations internationales que le Réseau canadien », a déclaré Brian Porter, président et chef de la direction de la Banque Scotia. « Notre modèle d'affaires diversifié continue de contribuer à notre performance globale et nous gardons le cap sur les investissements dans les services bancaires numériques et l'amélioration de l'expérience client.

« Le Réseau canadien a dégagé d'excellents résultats au chapitre des services bancaires aux entreprises de même qu'une croissance de ses services bancaires aux particuliers attribuable à la forte progression des prêts, à l'élargissement de la marge et à la meilleure performance au chapitre du crédit. Nous avons mené à bien l'acquisition de Jarislowsky Fraser, avec prise d'effet le 1er mai. L'acquisition de cette société de placement indépendante de premier plan au Canada cadre parfaitement avec notre engagement stratégique de diversifier et de faire croître nos activités de gestion de patrimoine à l'échelle mondiale.

« Les Opérations internationales ont affiché d'excellents résultats et un autre trimestre de croissance à deux chiffres. Ces résultats s'expliquent par le dynamisme renouvelé dans la région de l'Alliance du Pacifique, la meilleure performance au chapitre du crédit ainsi que les gains de productivité. Les acquisitions annoncées dernièrement au Chili, en Colombie et au Pérou, qui devraient toutes se réaliser au cours du second semestre de l'exercice, accroîtront encore davantage notre clientèle et renforceront notre présence dans la région de l'Alliance du Pacifique.  

« Le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque a atteint 12,0 % pour le trimestre, ce qui permet de nouveaux investissements et soutient la croissance pour la Banque. Les acquisitions annoncées récemment au Chili, en Colombie, au Pérou ainsi qu'au Canada sont des exemples concrets du déploiement stratégique de notre capital dans le but de renforcer nos positions sur le marché et d'assurer une meilleure connectivité à l'échelle de nos diverses activités.

« Nous sommes ravis des résultats que nous avons affichés pour le premier semestre de 2018, le bénéfice par action étant en hausse de 12 %. Nous nous engageons à investir pour bâtir une meilleure banque pour nos clients partout où nous sommes présents, ce qui stimulera la croissance soutenue de la Banque. »

Résultats financiers
Les résultats du deuxième trimestre de 2018 sont les suivants :


Pour les trimestres clos aux dates indiquées

Pour les semestres clos aux

dates indiquées

(non audité) (en millions de dollars)

30 avril 2018


31 janvier 2018


30 avril 2017


30 avril 2018


30 avril 2017


Revenus d'intérêts nets

3 950

$

3 936

$

3 728

$

7 886

$

7 371

$

Revenus autres que d'intérêts

3 108


3 152


2 853


6 260


6 078


Total des revenus

7 058


7 088


6 581


14 146


13 449


Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances

534


544


587


1 078


1 140


Charges autres que d'intérêts

3 726


3 498


3 601


7 224


7 290


Charge d'impôt sur le résultat

621


709


332


1 330


949


Bénéfice net

2 177

$

2 337

$

2 061

$

4 514

$

4 070

$

Bénéfice net attribuable aux participations ne donnant pas le contrôle dans des filiales

70


58


64


128


125


Bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres de la Banque

2 107


2 279


1 997


4 386


3 945



Actionnaires privilégiés et porteurs d'autres instruments de capitaux propres

65


30


32


95


71



Actionnaires ordinaires

2 042

$

2 249

$

1 965

$

4 291

$

3 874

$

Bénéfice par action ordinaire (en dollars)












De base

1,70

$

1,88

$

1,63

$

3,58

$

3,21

$


Dilué

1,70

$

1,86

$

1,62

$

3,56

$

3,19

$

 

Mesures non conformes aux PCGR
Pour évaluer sa performance, la Banque a recours à diverses mesures financières. Certaines d'entre elles ne sont pas calculées selon les principes comptables généralement reconnus (les « PCGR »), lesquels sont fondés sur les Normes internationales d'information financière (les « IFRS »), ni définies par les PCGR. Ces mesures n'ont aucune signification normalisée qui assurerait qu'elles sont cohérentes et comparables à celles du même nom ou à des mesures semblables utilisées par d'autres sociétés. La Banque est d'avis que certaines mesures non conformes aux PCGR sont utiles pour évaluer la performance des activités courantes et qu'elles permettent au lecteur de mieux comprendre comment la direction évalue la performance de l'entreprise. Ces mesures non conformes aux PCGR sont utilisées dans le présent communiqué de presse et elles sont définies à la rubrique Mesures non conformes aux PCGR de notre rapport trimestriel aux actionnaires pour le deuxième trimestre de 2018.

Données par secteurs d'exploitation

Réseau canadien
Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du deuxième trimestre de 2017
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a augmenté de 5 % pour se chiffrer à 1 017 millions de dollars, en raison surtout de la forte croissance des actifs, de l'élargissement de la marge, du recul de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et de la hausse des revenus découlant des participations dans des sociétés associées, atténués par l'augmentation des charges autres que d'intérêts. La diminution des profits sur les biens immobiliers a touché les résultats dans une mesure de 5 %, ce qui a été contrebalancé en partie par les avantages de 3 % découlant du mois supplémentaire de résultats attribuable à l'harmonisation des périodes de présentation des activités d'assurance au Canada avec celles de la Banque (l'« harmonisation des périodes de présentation »).

Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du premier trimestre de 2018
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a reculé de 85 millions de dollars ou de 8 %, essentiellement en raison de la baisse des revenus d'intérêts attribuable à l'incidence des trois jours de moins que compte le trimestre, du recul des revenus autres que d'intérêts et de la hausse des charges autres que d'intérêts. Ces facteurs ont été compensés en partie par les avantages procurés par l'harmonisation des périodes de présentation et la hausse des revenus découlant des participations dans des sociétés associées.

Comparaison du premier semestre de 2018 et du premier semestre de 2017
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a augmenté de 167 millions de dollars ou de 9 % pour se chiffrer à 2 119 millions de dollars, en raison surtout de l'augmentation des revenus d'intérêts nets découlant de la forte croissance des actifs, de même que de l'élargissement de la marge, du recul de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et de la hausse des revenus découlant des participations dans des sociétés associées. Ces facteurs ont été contrebalancés en partie par la hausse des charges autres que d'intérêts. La baisse appréciable des profits sur les biens immobiliers n'a été neutralisée qu'en partie par les avantages procurés par l'harmonisation des périodes de présentation.

Opérations internationales
Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du deuxième trimestre de 2017
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 675 millions de dollars, en hausse de 80 millions de dollars ou de 14 %. Cette hausse s'explique par la forte croissance des prêts et des dépôts en Amérique latine, par l'apport accru des sociétés associées et par la diminution du taux d'impôt effectif, facteurs en partie contrebalancés par l'augmentation des charges autres que d'intérêts et la diminution de la marge nette sur intérêts. Le mois supplémentaire de résultats du fait de l'harmonisation des périodes de présentation du Chili avec la Banque (l'« harmonisation des périodes de présentation ») explique 4 % de la croissance du bénéfice net.

Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du premier trimestre de 2018
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres est demeuré stable par rapport au trimestre précédent. L'incidence de la forte croissance des prêts en Amérique latine, de la hausse de la marge nette sur intérêts, de l'apport accru des sociétés associées et de l'harmonisation des périodes de présentation a été en grande partie contrebalancée par la diminution des revenus autres que d'intérêts et la hausse du taux d'impôt effectif.

Comparaison du premier semestre de 2018 et du premier semestre de 2017
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a augmenté de 171 millions de dollars ou de 15 %, pour s'élever à 1 342 millions de dollars, ce qui s'explique par la forte croissance des prêts en Amérique latine, la hausse des revenus tirés des frais, l'apport accru des sociétés associées et la diminution du taux d'impôt effectif, en partie contrebalancés par l'augmentation de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et des charges autres que d'intérêts.

Services bancaires et marchés mondiaux
Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du deuxième trimestre de 2017
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 447 millions de dollars, en baisse de 70 millions de dollars ou de 14 %. La baisse des revenus autres que d'intérêts, en raison surtout du niveau élevé d'activités de transactions sur capitaux propres réalisées par les clients au cours de l'exercice précédent, et l'incidence défavorable de la conversion des devises ont été contrebalancées en partie par la hausse des revenus d'intérêts nets et le recul de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances.

Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du premier trimestre de 2018
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres a reculé de 7 millions de dollars ou de 2 %, sous l'effet de la baisse des revenus d'intérêts nets et des revenus autres que d'intérêts, compensée en partie par la diminution des charges autres que d'intérêts.   

Comparaison du premier semestre de 2018 et du premier semestre de 2017
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est établi à 901 millions de dollars, en baisse de 85 millions de dollars ou de 9 %, ce qui s'explique par la baisse des revenus autres que d'intérêts, l'augmentation des charges autres que d'intérêts et le niveau élevé d'activités de transactions sur capitaux propres réalisées par les clients au cours de l'exercice précédent. Ces facteurs ont été contrés en partie par l'accroissement des revenus d'intérêts nets et le recul de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances.   

Autres
Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du deuxième trimestre de 2017
La perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est chiffrée à 32 millions de dollars, contre 86 millions de dollars, en raison surtout de l'incidence favorable de la conversion des devises (y compris les couvertures) et de la diminution des charges autres que d'intérêts, facteurs qui ont été compensés en partie par le recul des profits sur la vente de titres de placement.

Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du premier trimestre de 2018
La perte nette attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est chiffrée à 32 millions de dollars, contre un bénéfice net de 56 millions de dollars. Des charges autres que d'intérêts moindres principalement attribuables à la réévaluation des avantages de 150 millions de dollars (203 millions de dollars avant impôt) ont été inscrites au trimestre précédent, ce qui a été compensé en partie par une hausse des profits sur la vente de titres de placement au cours du trimestre à l'étude.

Comparaison du premier semestre de 2018 et du premier semestre de 2017
Le bénéfice net attribuable aux détenteurs de titres de capitaux propres s'est chiffré à 24 millions de dollars, contre une perte de 164 millions de dollars, du fait d'une baisse des charges autres que d'intérêts, principalement attribuable à la réévaluation des avantages de 150 millions de dollars (203 millions de dollars avant impôt), et de l'incidence favorable de la conversion des devises (y compris les couvertures). Ces facteurs ont été atténués par une diminution des profits sur la vente de titres de placement. L'augmentation des revenus autres que d'intérêts et la diminution des économies d'impôt sur le résultat traduisent essentiellement l'élimination plus importante de la majoration des revenus exonérés d'impôt au cours de l'exercice précédent. 

Risque de crédit

Dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances de 2018 est calculée conformément à l'IFRS 9, tandis que la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances de 2017 était calculée conformément à l'IAS 39.

Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du deuxième trimestre de 2017
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances a diminué de 53 millions de dollars ou de 9 %, ce qui est surtout attribuable à la diminution de la dotation au titre des prêts productifs des Opérations internationales se rapportant à la dotation inscrite précédemment en lien avec les ouragans dans les Antilles. Plus de la moitié de cette diminution a porté sur un prêt douteux à Porto Rico, en outre touché par les événements liés aux ouragans. La dotation au titre des prêts douteux s'est chiffrée à 595 millions de dollars, en hausse de 8 millions de dollars en raison surtout de la hausse de la dotation visant les Opérations internationales, en partie contrebalancée par la diminution de la dotation au titre des prêts aux particuliers du Réseau canadien. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est amélioré pour s'établir à 42 points de base, en baisse de sept points de base.

Comparaison du deuxième trimestre de 2018 et du premier trimestre de 2018
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établie à 534 millions de dollars, en baisse de 10 millions de dollars ou de 2 %, du fait de la baisse de la dotation au titre des prêts aux particuliers, en partie contrebalancée par la hausse de la dotation au titre des prêts aux entreprises des Opérations internationales. La dotation au titre des prêts douteux s'est chiffrée à 595 millions de dollars, en hausse de 31 millions de dollars en raison surtout d'un compte en outre touché par les événements liés aux ouragans à Porto Rico, facteur en partie annulé par la diminution de la dotation au titre des prêts aux particuliers du Réseau canadien. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances au titre des prêts douteux s'est établi à 46 points de base, en hausse de trois points de base. La dotation au titre des prêts productifs a diminué de 41 millions de dollars, en raison surtout de la dotation inscrite précédemment en lien avec les ouragans dans les Antilles qui a été appliquée au prêt douteux à Porto Rico. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances, établi à 42 points de base, est demeuré stable par rapport au trimestre précédent.

Comparaison du premier semestre de 2018 et du premier semestre de 2017
La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est chiffrée à 1 078 millions de dollars, en baisse de 62 millions de dollars ou de 5 % attribuable surtout à une réduction de la dotation inscrite précédemment au titre des prêts productifs des Opérations internationales en lien avec les ouragans dans les Antilles. La dotation au titre des prêts douteux a augmenté de 19 millions de dollars en lien principalement avec les portefeuilles de prêts aux particuliers des Opérations internationales, surtout en Amérique latine, facteur en partie contrebalancé par la baisse de la dotation du Réseau canadien et des Services bancaires et marchés mondiaux. Le ratio de dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances s'est établi à 42 points de base, en baisse de cinq points de base.    

Ratios de fonds propres
Le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1 de la Banque s'est établi à 12,0 %, en hausse d'environ 80 points de base pour le trimestre, du fait surtout de l'avantage de passer au nouveau plancher de fonds propres réglementaires aux termes de Bâle II et de la forte autogénération de capital.

Le ratio de T1 et le ratio total des fonds propres de la Banque se sont respectivement situés à 13,5 % et à 15,3 %. Le ratio total des fonds propres a été touché par le rachat de débentures subordonnées de 10 milliards de yens japonais au cours du trimestre. 

Au 30 avril 2018, le ratio des actions ordinaires et assimilées de T1, le ratio de T1, le ratio total des fonds propres et le ratio de levier dépassaient amplement les ratios minimaux des fonds propres du BSIF.

Énoncés prospectifs
Nos communications publiques comprennent souvent des énoncés prospectifs verbaux et écrits. Le présent document renferme ce genre d'énoncés, qui peuvent également être intégrés à d'autres documents déposés auprès des organismes de réglementation des valeurs mobilières du Canada ou de la Securities and Exchange Commission des États-Unis, ou à d'autres communications. De tels énoncés sont formulés aux termes des règles d'exonération de la loi américaine intitulée Private Securities Litigation Reform Act of 1995 et de toute loi pertinente sur les valeurs mobilières en vigueur au Canada. Les énoncés prospectifs peuvent comprendre, notamment, les énoncés formulés dans le présent document, dans le rapport de gestion de la Banque figurant dans son rapport annuel 2017 à la rubrique « Perspectives », ainsi que dans tout autre énoncé concernant les objectifs de la Banque, les stratégies qu'elle emploie pour les atteindre, le contexte réglementaire dans lequel la Banque exerce ses activités, ses résultats financiers prévisionnels (y compris ceux relevant du domaine de la gestion du risque) et les perspectives à l'égard des activités de la Banque et de l'économie du Canada, des États-Unis et du monde entier. On reconnaît habituellement les énoncés prospectifs à l'emploi de termes ou d'expressions comme « croire », « prévoir », « s'attendre à », « avoir l'intention de », « estimer », « projeter », « pourrait augmenter » et « pourrait fluctuer » et autres expressions similaires ainsi que par la conjugaison des verbes au futur et au conditionnel comme « devrait » et « pourrait ».  
De par leur nature, les énoncés prospectifs comportent de nombreuses hypothèses, des incertitudes et des risques inhérents, tant généraux que spécifiques, ainsi que le risque que les prédictions et autres énoncés prospectifs se révèlent inexacts. La Banque conseille aux lecteurs de ne pas se fier indûment à ces énoncés étant donné que les résultats réels pourraient différer sensiblement des estimations et intentions exprimées dans ces énoncés prospectifs en raison d'un certain nombre de facteurs importants dont plusieurs sont indépendants de sa volonté et dont l'incidence peut être difficile à prévoir. Ces facteurs sont notamment la conjoncture économique et financière au Canada et dans le monde; les variations des taux d'intérêt et des taux de change; les liquidités et le financement; une volatilité importante et les interruptions des marchés; le défaut de tiers de respecter leurs obligations envers la Banque et envers les sociétés membres de son groupe; les changements apportés à la politique monétaire; les modifications apportées aux lois et à la réglementation au Canada et ailleurs, notamment les changements apportés aux lois fiscales et lignes directrices relatives au capital au titre des risques ainsi qu'aux directives de présentation de l'information et directives réglementaires en matière de liquidité, ou les interprétations qui en sont faites; les changements aux notations de crédit attribuées à la Banque; le risque d'exploitation (y compris les technologies) et le risque lié aux infrastructures; le risque de réputation; le risque que les modèles de gestion du risque de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l'exactitude et l'exhaustivité de l'information que la Banque reçoit sur sa clientèle et ses contreparties; la mise au point et le lancement de nouveaux produits et services en temps opportun; la capacité de la Banque à étendre ses canaux de distribution existants, à en mettre sur pied de nouveaux et à en tirer des revenus; la capacité de la Banque à mener à terme ses acquisitions et ses autres stratégies de croissance et à intégrer les établissements acquis; les principales estimations comptables et l'incidence des modifications des conventions et des méthodes comptables utilisées par la Banque telle qu'elles sont décrites dans les états financiers annuels de la Banque (se reporter à la rubrique « Contrôles et méthodes comptables - Principales estimations comptables » figurant dans le rapport annuel 2017 de la Banque), et compte tenu des ajouts figurant dans les rapports trimestriels; l'activité sur les marchés financiers mondiaux; la capacité de la Banque à recruter et à conserver des dirigeants clés; la confiance accordée aux tiers qui fournissent les composantes de l'infrastructure commerciale de la Banque; les changements imprévus aux habitudes de dépenses et d'épargne des consommateurs; les changements technologiques; la fraude perpétrée par des tiers en interne ou à l'extérieur de la Banque, notamment par l'utilisation inédite de nouvelles technologies pour commettre des fraudes à l'endroit de la Banque ou de ses clients; le risque accru de cybercriminalité, y compris le vol d'actifs, l'accès non autorisé à de l'information confidentielle ou des perturbations des activités; la lutte contre le blanchiment d'argent; le regroupement du secteur des services financiers au Canada et dans le monde; la présence de nouveaux concurrents et des concurrents établis; les procédures judiciaires et réglementaires; les catastrophes naturelles, y compris, sans toutefois s'y limiter, les tremblements de terre et les ouragans et les perturbations des infrastructures publiques, notamment les réseaux de transports, de communications, d'électricité et d'eau; l'incidence éventuelle de conflits internationaux et autres événements, y compris les activités terroristes et les guerres; les incidences de maladies ou d'épidémies sur les économies locales, nationales ou internationales; de même que la capacité de la Banque à prévoir et à gérer les risques que comportent ces facteurs. Une grande partie des activités de la Banque consiste à consentir des prêts ou à affecter autrement ses ressources à certains secteurs, entreprises ou pays. Tout événement imprévu touchant ces emprunteurs, secteurs ou pays risque d'avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers de la Banque, sur ses activités, sur sa situation financière ou sur ses liquidités. Ces facteurs, et d'autres encore, peuvent faire en sorte que la performance réelle de la Banque soit, dans une mesure importante, différente de celle envisagée par les énoncés prospectifs. Pour plus de renseignements, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Gestion du risque » du rapport annuel 2017 de la Banque.  
Les hypothèses économiques importantes sous-jacentes aux énoncés prospectifs figurant dans le présent document sont présentées dans le rapport annuel 2017 à la rubrique « Perspectives », compte tenu des ajouts figurant dans les rapports trimestriels. Les rubriques « Perspectives » sont fondées sur les opinions de la Banque et leur réalisation est incertaine. Le lecteur est prié de tenir compte des facteurs susmentionnés à la lecture de ces rubriques. La liste des facteurs énoncés ci-dessus n'est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risques et autres facteurs potentiels pouvant avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Lorsqu'ils se fient à des énoncés prospectifs pour prendre des décisions à l'égard de la Banque et de ses titres, les investisseurs et les autres personnes doivent se pencher diligemment sur ces facteurs, ainsi que sur d'autres incertitudes et éventualités. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document sont présentés dans le but d'aider les porteurs de titres de la Banque et les analystes financiers à comprendre la situation financière et les résultats d'exploitation de la Banque aux dates indiquées et pour les périodes closes à ces dates ainsi que les objectifs de performance financière, la vision et les cibles stratégiques de la Banque, et ils peuvent ne pas convenir à d'autres fins. Sauf si la loi l'exige, la Banque ne s'engage pas à mettre à jour les énoncés prospectifs verbaux ou écrits qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom.  
Le lecteur trouvera d'autres renseignements sur la Banque, y compris sa notice annuelle, sur le site Web de SEDAR, au www.sedar.com, ainsi que dans la section EDGAR du site Web de la SEC, au www.sec.gov.

Information à l'intention des actionnaires

Régime de dividendes et d'achat d'actions
Le régime de réinvestissement de dividendes et d'achat d'actions de la Banque Scotia permet aux actionnaires ordinaires et privilégiés d'acquérir d'autres actions ordinaires en réinvestissant leurs dividendes en trésorerie sans avoir à acquitter de frais de courtage ou d'administration.

Les actionnaires admissibles ont également la possibilité d'affecter, au cours de chaque exercice, une somme ne dépassant pas 20 000 $ à l'achat d'actions ordinaires supplémentaires de la Banque. Tous les frais liés à la gestion du régime sont à la charge de la Banque.

Pour obtenir des renseignements supplémentaires sur le régime, il suffit de communiquer avec l'Agent des transferts.

Site Web
Pour obtenir des renseignements concernant la Banque Scotia et ses services, visitez notre site Web, au www.banquescotia.com.  

Conférence téléphonique et diffusion sur le Web
La conférence téléphonique sur les résultats trimestriels aura lieu le 29 mai 2018, à 8 h (heure de l'Est) et devrait durer environ une heure. Les parties intéressées sont invitées à accéder à la conférence directement, en mode écoute seulement, par téléphone en composant le 416-640-5944 ou le 1-800-274-0251 (sans frais) et en utilisant le code d'accès 6751615, suivi du carré (#) (veuillez téléphoner un peu avant 8 h (heure de l'Est)). Une diffusion audio sur le Web avec les diaporamas afférents sera accessible par l'intermédiaire de la page Relations avec les investisseurs, au www.banquescotia.com.

Une période de questions suivra la présentation des résultats par la haute direction de la Banque Scotia. Une transmission différée par téléphone de la conférence téléphonique sera disponible du 29 mai 2018 au 14 juin 2018, en composant le 647-436-0148 ou le 1-888-203-1112 (sans frais en Amérique du Nord) et le code d'accès 6751615, suivi du carré (#). La diffusion audio sur le Web sera disponible sur le site Web de la Banque pendant trois mois.

Coordonnées

Investisseurs :

Les analystes financiers, les gestionnaires de portefeuilles et les autres investisseurs qui souhaitent obtenir de l'information financière concernant la Banque sont priés de communiquer avec le service Relations avec les investisseurs, Affaires financières :


Banque Scotia


Scotia Plaza - 44, rue King Ouest


Toronto (Ontario) Canada M5H 1H1


Téléphone : 416-775-0798


Télécopieur : 416-866-7867


Courriel : investor.relations@scotiabank.com


Médias :

Les demandes d'information des médias doivent être adressées au service Communications mondiales, à l'adresse ci-dessus.  


Téléphone : 416-866-6806


Courriel : corporate.communications@scotiabank.com


Actionnaires :

Pour obtenir des renseignements sur un changement d'inscription d'actions, un changement d'adresse, les dividendes, les transferts successoraux ou la perte de certificats d'actions, ou pour demander que cessent des envois multiples, veuillez vous adresser à l'Agent de transfert de la Banque :


Société de fiducie Computershare du Canada


100, avenue University, 8e étage


Toronto (Ontario) Canada M5J 2Y1


Téléphone : 1-877-982-8767


Télécopieur : 1-888-453-0330


Courriel : service@computershare.com  



Coagent de transfert (États-Unis)


Computershare Trust Company N.A.


250 Royall Street


Canton, MA 02021 U.S.A.


Téléphone : 1-800-962-4284


Pour toute autre demande de renseignements, les actionnaires sont priés de contacter les Affaires financières :


Banque Scotia


Scotia Plaza - 44, rue King Ouest


Toronto (Ontario) Canada M5H 1H1


Téléphone : 416-866-4790


Courriel : corporate.secretary@scotiabank.com

 

Quarterly Reports available in English
The Bank publishes its statements and Annual Report in both English and French, and makes every effort to provide them to Shareholders in the language of their choice. If you would prefer to receive shareholder communications in English, please contact Public, Corporate and Government Affairs, The Bank of Nova Scotia, Scotia Plaza, 44 King Street West, Toronto, Ontario, Canada, M5H 1H1. Please supply the mailing label you received, if possible, so we may adjust our records.

SOURCE Scotiabank

Pour plus d'informations: Adam Borgatti, Relations avec les investisseurs, Banque Scotia, 416-866-5042; Heather Armstrong, Communications mondiales, Banque Scotia, 416-933-3250